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Déplacement de Geneviève Darrieussecq à bord de la frégate anti-aérienne « Cassard »

Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées, s’est rendue jeudi 14 mars 2019 à bord de la frégate anti-aérienne « Cassard ». Après une première visite du bâtiment lors d’une escale à Abu Dhabi le 17 février dernier, la secrétaire d’Etat a souhaité rencontrer de nouveau l’équipage quelques heures avant son retour à Toulon. Elle en a profité pour saluer les multiples succès opérationnels réalisés au cours de ce déploiement, le dernier du « Cassard » avant son retrait du service.
Parti de Toulon le 31 octobre dernier, le « Cassard » a contribué à la présence permanente des forces navales françaises dans l’océan Indien et participé à la lutte contre le terrorisme et les activités illicites. En novembre dernier, il a secouru 12 naufragés dans le golfe arabo-persique. De décembre à janvier, il a été intégré avec succès à l’escorte du porte-avions américain « Stennis ». Enfin, le 31 janvier, il a intercepté près de 670 kg d’héroïne en mer d’Arabie, au large des côtes omanaises et deux tonnes de cannabis, trois semaines plus tard.
Outre ce volet opérationnel, son déploiement a été marqué par de nombreuses activités de coopération dont onze escales et quatre exercices avec des pays alliés et partenaires dans la région. Le 24 janvier, il a effectué la première escale d’un bâtiment de la Marine nationale dans la base navale de Bombay, suite à la mise en application de l’accord de soutien logistique réciproque entre la France et l’Inde.
Première des frégates anti-aériennes, le « Cassard » est entré en service en 1988. Armé par un équipage de 230 marins, il a embarqué pour sa mission un hélicoptère Panther de la flottille 36F. A l’issue de son retrait du service actif prévu cette année, il doit être remplacé par un bâtiment du type FREMM DA (frégates européennes multi-missions de défense aérienne) à l’horizon 2021.

Six nouvelles conventions pour la Garde nationale
Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées, présidera lundi 18 mars 2019 à 10h30 à l’Hôtel de Brienne une cérémonie de signatures de conventions de soutien à la politique de réserve.
Ce ne sont pas moins de six grandes entreprises et établissement d’enseignement supérieur qui s’engageront en faveur des réservistes de la Garde nationale. Antoine Bouvier, président de MBDA, Joël Courtois, directeur de l’EPITA, Antoine Frérot, président de Veolia, Stéphane Mayer, président de Nexter, Thierry Trouvé, directeur général de GRTgaz, Jean-François Vaquieri, directeur de la régulation et des affaires juridiques d’ENEDIS, signeront les conventions avec le général Anne Fougerat, secrétaire générale de la Garde nationale.
Ces conventions vont au-delà des obligations légales des employeurs et facilitent ainsi les conditions d’exercice des salariés engagés dans la réserve des forces de sécurité intérieure et de la défense.
La Garde nationale
Créée en 2016 en réponse aux attentats, la Garde nationale rassemble les 76.000 réservistes opérationnels des armées (principalement terre, air, mer) et des forces de sécurité intérieure. Près de 7.000 de ces femmes et hommes de toutes catégories socio-professionnelles sont engagés au quotidien. Chaque jour, ils participent activement aux opérations extérieures ou intérieures de la défense nationale, ou à la sécurité publique, en métropole et outre-mer.
La Garde nationale répond à trois objectifs :
1. Accroître la participation des réserves au renforcement de la sécurité des Français ;
2. Apporter une réponse concrète au désir d’engagement de la jeunesse ;
3. Favoriser la cohésion nationale et développer l’esprit de résilience.
Les signataires des conventions
MBDA, leader européen dans la conception de missiles et de systèmes de missiles.
EPITA, école des ingénieurs du numérique présente à Paris, Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse.
Veolia, référence mondiale de la gestion optimisée des ressources.
Nexter, l’architecte et systémier intégrateur français de la défense terrestre.
GRTgaz, expert mondial des réseaux et systèmes de transport gaziers.
ENEDIS, gestionnaire national du réseau public de distribution d’électricité.

La ministre de la Justice a reçu l’ensemble des organisations représentatives de l'administration pénitentiaire ce jeudi, pour évoquer notamment les questions que soulève l’attentat commis le 5 mars à la maison centrale de Condé-sur-Sarthe et, plus généralement, revenir sur les problématiques de sécurité et de valorisation des métiers.
La Ministre a d’abord rappelé l’effort conséquent engagé, dès 2017, pour renforcer la sécurité des agents pénitentiaires et des établissements : à titre d’exemple, le budget de sécurisation des établissements a augmenté de 10 M€ en 2018, de 16 % encore cette année, et le renseignement pénitentiaire a été renforcé, tant dans ses moyens humains (avec une hausse conséquente de ses effectifs, qui se poursuit jusqu’en 2022) que dans ses capacités techniques et juridiques d’action.
Dans ce même esprit, la loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la Justice, dont la promulgation pourrait intervenir d’ici la fin du mois, a prévu un ensemble de mesures :
en matière de renseignement, en étendant certaines techniques, jusqu’ici réservées à la lutte contre le terrorisme et contre la criminalité organisée, aux finalités de maintien du bon ordre et de la sécurité des établissements pénitentiaires ;
en modifiant la législation sur les fouilles de personnes détenues ;
en permettant l’affectation de détenus dans des prisons adaptées à leur profil carcéral, indépendamment de leur statut pénal de prévenu ou de condamné ; en donnant des moyens d’actions nouveaux aux équipes locales de sécurité pénitentiaire, qui prévoient notamment que ces unités soient désormais autorisées à intervenir aux abords immédiats des établissements, afin notamment de lutter plus efficacement contre les projections et les parloirs sauvages ; en fixant les moyens budgétaires du programme de construction de 8 000 places d’ici 2022, assortis de leviers juridiques permettant d’accélérer, au besoin, les opérations de construction ;
Par ailleurs, un ensemble de mesures structurelles a été engagé :
réorganisation de l’administration centrale de la DAP, afin notamment de créer une sous-direction de la sécurité plus cohérente et orientée vers l’évaluation et la gestion des risques pénitentiaires ;
mise en œuvre du relevé de conclusion du 29 janvier 2018 comprenant, notamment, une première vague de recrutement des 1100 emplois supplémentaires ; des dotations de gilets pare-lames ; une refonte du régime disciplinaire des personnes détenues ; une évolution du positionnement du surveillant comme acteur central de la détention, etc.
La Ministre a complété ces dispositions par l'annonce de neuf mesures nouvelles :
1. Clarification des règles relatives au contrôle d’accès aux établissements, notamment pour la palpation des visiteurs
2. Accélération de la dotation des personnels de surveillance en gilets pare-lames, en équipant en priorité l’ensemble des agents des maisons centrales de Condé et Vendin
3. Expérimentation de la dotation de certains surveillants en caméras embarquées
4. Remise à niveau des effectifs des brigades cynotechniques et création d’une quatrième brigade en région grand-ouest
5. Mise au point d’une doctrine d’emploi des menottes en détention
6. Constitution d’un groupe de travail sur l’usage des pistolets à impulsion électrique (PIE)
7. Publication d’une circulaire d’application du nouvel article 57 de la loi pénitentiaire (cadre juridique des fouilles de détenus)
8. Constitution d’un groupe de travail sur le statut d’agent de police judiciaire
9. L’ensemble de ces mesures s’inscrivant dans une réflexion plus large sur la classification des établissements pénitentiaires, compte tenu de l’évolution des risques en détention.
Pour accompagner ces priorités d’action, la Garde des Sceaux a également annoncé la décision de doubler les possibilités d’accès à la catégorie B au sein de la filière de surveillance, de 1260 agents environ à ce jour, à une cible de 2500 officiers.
Cette ambition doit s’accompagner d’un accompagnement renforcé des surveillants pour accéder à d’autres fonctions tout au long de leur activité et décrire des parcours de carrière attractifs.
Enfin, la Ministre a annoncé que la prime de sujétion spéciale (PSS) des surveillants et officiers serait revalorisée de 0,5 points chaque année d’ici 2022, contre 2021 jusqu’à présent.
L’ensemble de ces mesures entend manifester aux personnels de surveillance la détermination du Gouvernement à amplifier encore les efforts pour améliorer très concrètement leur sécurité, dans l’intégralité de leurs missions au quotidien, et leur témoigner la reconnaissance de la Nation, dans la continuité des actions entreprises depuis 18 mois.

4th ALSIM FNPT II FOR MALAYSIA-BASED HM AEROSPACE
Friday, March 15, 2019, Le Loroux Bottereau, France – Long-term ALSIM customer HM Aerospace, based on the beautiful island of Langkawi, Malaysia, recently decided to go with ALSIM once again to supplement their mixed aircraft fleet with a simulator capable of replicating all of their entry-level training aircraft. The academy has already been operating three ALSIM AL42 devices since 2005.
The ALSIM AL250 is a generic and compact simulator for single & multi engine piston (SEP/MEP reconfigurable) PPL, CPL & IR training. The device meets all current regulatory standards and responds to training requirements of smaller and mid-sized ATOs, flight schools, and universities. With more than 30 devices installed worldwide, the AL250 has a proven track record for cost-effectiveness and helps save numerous aircraft hours.
Romain Chomel, Head of Training with HM Aerospace, explains why the academy has chosen ALSIM once again: “We’re glad to install the first AL250 simulator in Malaysia. The device will help us respond to the ever increasing airline demand here in Asia. Many new aircraft have been ordered by the airlines and the need for highly trained pilots can only be met by well equipped training facilities.”
Audrey Jeffroy, Sales Director with ALSIM, adds: “We would like to thank HM Aerospace for demonstrating their confidence in ALSIM once again. HM Aerospace, one of the most important flight schools in Malaysia, is rapidly growing and ALSIM is proud to be part of this development.”
About HM Aerospace
HM Aerospace Sdn Bhd (HMA) is Malaysia’s premier Flight Training Academy providing world-class training and facilities for cadet pilots. As a member of the Halim Mazmin Group, HMA has the capacity to train a minimum of 200 cadet pilots per year at their Langkawi facilities. For the last 12 years the school has been managed by its Chief Executive Officer (CEO) and Principal, Brigadier General Dato’ Ranjit Singh Gill, a retired officer from the Royal Malaysian Air Force (RMAF).
HMA was the first ATO in the country to use the Diamond series aircraft (DA40/DA42) for flight training. It was also the first to introduce the ALSIM FNPT II simulator featuring the GARMIN G1000 Glass Cockpit in South East Asia, which tremendously improved the quality of training and transition to type training with airlines. With its proven track record, HMA was selected by Malaysia Airlines (MAS) as one of their preferred training centers for their cadet pilots.
To date HMA has proudly trained nearly 1 300 commercial pilots who have successfully been placed into local airlines like Malaysia Airlines, AirAsia, Malindo Air, Firefly, MASwings and other airlines in Southeast Asia and in the Middle East like Singapore Airlines, Hong Kong Airlines, Wings Air (Lion Air), Eva Air, Korean Airlines, China Airlines, various airlines in Myanmar, Etihad Airways, Emirates, Saudi Airlines, Qatar Airways and Pakistan Airlines, just to name a few.
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