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Boeing confirme son statut de partenaire majeur de l’industrie aéronautique française      35 240 emplois directs et indirects créés et maintenus par les programmes Boeing en 2017      6,3 milliards de dollars en faveur de l'industrie française sur la même période, une hausse de 40 % depuis 2012

Boeing confirme son statut de partenaire majeur de l’industrie aéronautique française

  • 35 240 emplois directs et indirects créés et maintenus par les programmes Boeing en 2017

  • 6,3 milliards de dollars en faveur de l'industrie française sur la même période, une hausse de 40 % depuis 2012

 

Paris, le 14 novembre 2018 - Une nouvelle étude d’Oxford Economics révèle que l’avionneur a créé et maintenu un total de 35 240 emplois directs et indirects sur le territoire français en 2017. L’année dernière, Boeing a acheté pour 6,3 milliards de dollars aux équipementiers tricolores, confortant ainsi sa position de premier client à l’export de l’industrie aéronautique française.

 

L’étude d’Oxford Economics évalue l’impact de Boeing en matière d’emplois créés et maintenus en Europe, dans les pays où le groupe est implanté. La France occupe ainsi le deuxième rang (après le Royaume-Uni), en Europe, en 2017, en nombre d’emplois assurés par les programmes de Boeing en aviation commerciale, défense et services, avec un total de 35 240 postes de travail. Le revenu total en faveur de l’industrie française sur la même période s’est élevé à 6,3 milliards de dollars, ce qui comprend les achats du Groupe aux entreprises françaises et à leurs filiales situées hors du pays. Ce chiffre significatif illustre l’intensification du partenariat de Boeing avec l'industrie française, par rapport à 4,5 milliards de dollars en 2012, soit une hausse de 40 % en cinq ans.

 

«Ces résultats démontrent que l’histoire de Boeing et de la France continue de s’écrire alors que les opportunités données aux équipementiers tricolores de rejoindre ou de renforcer leur présence sur les programmes du Groupe sont importantes» a déclaré Jean-Marc Fron, Directeur Général de Boeing France. «Boeing France se réjouit de contribuer à la valorisation du savoir-faire de plus d’une centaine d’entreprises du secteur aéronautique français ; nos avions, plus particulièrement les 787 Dreamliner, 737 MAX et 777X, portent haut les couleurs de la France. Il s’agit d’un partenariat gagnant-gagnant qui permet de développer l’activité de l’industrie française, et de soutenir les besoins de production ainsi que la compétitivité du Groupe Boeing.»

Conformément aux annonces du président de la République en mai dernier, Christophe CASTANER, ministre de l’Intérieur, a signé ce jour une circulaire renforçant les échanges entre les Préfets et les maires en matière de radicalisation.

Conformément aux annonces du président de la République en mai dernier, Christophe CASTANER, ministre de l’Intérieur, a signé ce jour une circulaire renforçant les échanges entre les Préfets et les maires en matière de radicalisation.

Conformément aux annonces du président de la République en mai dernier, Christophe CASTANER, ministre de l’Intérieur, a signé ce jour une circulaire renforçant les échanges entre les Préfets et les maires en matière de radicalisation.

Répondant à une attente exprimée de longue date par les maires, cette circulaire prévoit que les Préfets informeront les maires qui en font la demande sur l’état général de la menace sur le territoire de leur commune.

 Elle prévoit en outre la désignation, au sein des services de l’Etat, d’interlocuteurs de proximité pour permettre aux maires de signaler, en temps réel, une situation de radicalisation présumée, et garantit aux maires un retour systématique sur les signalements qu’ils effectuent.

Enfin, elle autorise le préfet, dans certaines situations, à transmettre personnellement au maire des informations confidentielles nominatives, par exemple pour attirer son attention sur le profil d’un employé municipal présentant un risque de radicalisation, ou encore sur les risques associés au subventionnement d’une association ou d’un commerce.

Pour garantir la confidentialité des échanges ainsi que celle du travail des services de police, de gendarmerie et de renseignement, une charte sera signée entre le préfet, le maire et le procureur de la République.

 Pour le ministre de l’Intérieur, Christophe CASTANER, « la politique de prévention de la radicalisation repose sur la mobilisation de tous, pour mieux déceler les signaux faibles. Les maires sont, aux côtés de l’État, des acteurs essentiels de cette politique. Grâce à cette circulaire, les maires seront mieux informés, et les Français mieux protégés. »

 

 

 

Dans le cadre de la gestion 2018, le ministère des Armées a obtenu ce jour un dégel de 272 millions d’euros mis à disposition sur son budget.

 

Alors que le projet de loi de finances rectificative (PLFR) est examiné au Parlement, le Gouvernement avait annoncé le « dégel » du solde des crédits inscrits dans la réserve de précaution.

 

Au total, le montant des crédits dits « gelés » du ministère des Armées s’élevait à 676 millions d’euros. Une première partie de ces crédits, à hauteur de 404 millions d’euros, avait été redéployée dans le cadre du PLFR. Il restait donc 272 millions d’euros de crédits budgétaires, dont le Gouvernement a décidé du « dégel » aujourd’hui.

 

Ces 272 millions d’euros de crédits permettront de financer les dépenses courantes du ministère des Armées en matière d’équipement et de fonctionnement, autres que les surcoûts liés aux opérations extérieures (OPEX) et missions intérieures (MISSINT).

 

Fait notable, ce « dégel » intervient à la date du 13 novembre, c’est-à-dire de manière très anticipée par rapport au calendrier habituel. En 2017 notamment, le ministère des armées avait bénéficié de « dégels » dans les tout derniers jours du mois de décembre. Ces crédits donnent donc une visibilité inédite au ministère des Armées pour réussir sa fin de gestion 2018.

Dégel de 272 millions d’euros pour le ministère des Armées

Dégel de 272 millions d’euros pour le ministère des Armées
Ce jour, Nicole BELLOUBET, garde des Sceaux, ministre de la justice, a reçu le rapport « Pour une modernisation de la publicité foncière » élaboré par la commission de réforme de la publicité foncière dirigée par Laurent AYNÈS, professeur de droit à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne.

Ce jour, Nicole BELLOUBET, garde des Sceaux, ministre de la justice, a reçu le rapport « Pour une modernisation de la publicité foncière » élaboré par la commission de réforme de la publicité foncière dirigée par Laurent AYNÈS, professeur de droit à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne.

Ce rapport présente au Gouvernement des propositions de modifications législatives.

 

La publicité foncière donne aux droits réels immobiliers (droit de propriété, usufruits, servitudes, etc.) leur pleine efficacité dès lors que leur publicité au fichier immobilier les rend opposables aux tiers qui pourraient détenir des droits concurrents.  La publicité foncière est ainsi un rouage, souvent méconnu, mais essentiel de sécurisation des transactions immobilières et des financements bancaires octroyés. Ce régime juridique est aujourd’hui régi par deux décrets datant de plus de 60 ans et qui ne tiennent pas compte des évolutions offertes par l’informatisation des procédures et des services.

 

La publicité foncière étant aux confins du droit des sûretés réelles, du droit des biens et du droit des obligations, la commission dirigée par le professeur AYNÈS était composée d’universitaires, notaires, avocats, anciens conservateurs des hypothèques. La commission a en outre procédé à de nombreuses auditions de praticiens de la publicité foncière.

 

Ce travail, d'une grande portée pédagogique, nourrira la réflexion engagée en interministériel pour élaborer dans les meilleurs délais une réforme de la publicité foncière qui permettra à la France de progresser dans les classements internationaux tels que celui figurant dans le rapport de la Banque Mondiale « Doing Business ».

 

 

 

M. Christophe CASTANER, ministre de l’Intérieur, et M. Laurent NUNEZ, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, ont appris avec une vive émotion le décès en mission d’un sous-officier de l’escadron 14/1 du groupement blindé de gendarmerie mobile de Versailles-Satory (78), déplacé en Nouvelle-Calédonie.

 

 

Lundi 12 novembre 2018, vers 2 heures 30, à PAÏTA, une patrouille de trois gendarmes mobiles rentre d’intervention. Dans des circonstances qui restent à déterminer, le véhicule de la patrouille est victime d’un accident de la circulation au cours duquel un gendarme perd la vie. Ses deux camarades sont blessés, sans que leurs pronostics vitaux ne soient engagés. Agé de 26 ans, le gendarme décédé vivait en couple.

 

Le ministre de l’Intérieur et le secrétaire d’Etat expriment leur plus entier soutien à sa famille, à ses proches et à ses camarades, rendent hommage au dévouement de ce gendarme mobile et souhaitent un prompt rétablissement à ses deux camarades blessés.

 

M. Christophe CASTANER et M. Laurent NUNEZ saluent l’engagement des militaires de la gendarmerie qui, en toutes circonstances, assurent la sécurité de nos concitoyens avec détermination et abnégation.

 

Il s’agit du neuvième décès d’un gendarme en mission depuis le début de l’année 2018.

Décès d’un gendarme mobile déplacé en Nouvelle-Calédonie

Décès d’un gendarme mobile déplacé en Nouvelle-Calédonie
Eerste bezoek van de nieuwe minister van Defensie aan het hoofdkwartier in Evere

Eerste bezoek van de nieuwe minister van Defensie aan het hoofdkwartier in Evere

Op woensdag 14 november 2018 brengt de nieuwe Minister van Defensie, Sander Loones, een eerste bezoek aan het hoofdkwartier van Defensie in Evere. Hij zal er via een korte welkomstceremonie ontvangen worden door de chef Defensie, generaal Marc Compernol. Na de ceremonie zal de chef defensie hem uitnodigen het Gulden Boek te tekenen.

Na afloop van de ceremonie kan een korte reactie verkregen worden van de minister.

Op maandag 12 november 2018 legde de heer Sander Loones de eed af als nieuwe Minister van Defensie belast met ambtenarenzaken.

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